6 septembre 2008
je vis un cauchemar
Eh oui, j'en suis à tricoter avec des gants en caoutchouc. Parce que ma laine, ma belle laine tweedée-chocolat-noir-80%, elle déteint partout : sur mes mains, sur mes vêtements (port du tablier obligatoire), sur les poignées de porte…
Alors j'ai tenté les gants de coton. Vous savez, comme ceux que portaient les secrétaires autrefois pour taper à la machine sans abîmer leurs ongles. Que nenni ! La couleur passe à travers le gant.
La solution, c'est donc le caoutchouc. Un vrai bonheur : non seulement mes petites mains ont quelques problèmes à s'agiter dans la bonne direction (je sais la perception ça s'éduque) et se mettent à transpirer, mais en plus les aiguilles transpercent les gants.
Si ça continue, je vais passer aux bons vieux Mapa javel increvables. Un cauchemar, je vous dis.
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